Près d'un cinquième du mobilier de Glozel est inscrit. Les inscriptions sont parfois fort brèves (un seul signe), parfois très longues (plus de 120). Morlet a arrêté à 111 le nombre de signes distincts constituant ces inscriptions. Il a par ailleurs fait paraître un Corpus des inscriptions de Glozel en 1965, non exhaustif malheureusement.

Dans les années 20 et 30, pas moins de douze traducteurs, s'appuyant chacun sur une écriture connue différente, soutiennent avoir découvert la clef de l'épigraphie glozélienne. Et même si certains bénéficient d'une solide réputation (comme Camille Jullian), aucun ne réussit à imposer ses travaux. Si bien qu'à la fin de l'affaire, les signes de Glozel restent énigmatiques. Des questions élémentaires sont laissées sans réponse, comme la nature des signes (phonétiques, idéographiques, figuratifs) ou la composition (systématique ou erratique) des inscriptions.