Directeur du Musée des Antiquités nationales, membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, codirecteur de la Revue archéologique, il est l'auteur d'une œuvre considérable dont la Bibliographie de 262 pages, parue en 1936, donne la mesure.
         Les premières découvertes que lui soumet Morlet dès 1925 suscitent chez lui un profond scepticisme. Ses fouilles des 24 et 25 août 1926 y mettent fin et il devient dès lors un des principaux défenseurs de Glozel. Il fouille à nouveau en juillet 1927 avec Emile Espérandieu et Albert Déchelette et prend part enfin aux travaux du Comité d'Etudes du 12 au 14 avril 1928.
         Il soutient Glozel à l'Institut et par plusieurs articles et ouvrages, notamment Glozel, la découverte, la controverse, les enseignements, 1928, Ephémérides de Glozel, tome I, 1928, tome II, 1930. Les années 1925-1932 de sa volumineuse correspondance abordent constamment la question.