Glozel chez Spirou
Au
milieu des années 50, Antonin Morlet avait essayé sans
grand succès de faire dater des ossements de Glozel par la méthode
nouvelle du radiocarbone. Au début des années 70, peu
de temps après la mort de Morlet, des scandinaves, danois et
suédois, obtiennent d'Annie Morlet, son épouse, et d'Emile
Fradin qu'ils leur confient quelques objets de terre cuite en vue d'entreprendre
des datations par une autre méthode, celle de la thermoluminescence.
C'est le début d'une importante campagne archéométrique
qui implique plusieurs laboratoires européens. Elle conclut à
l'ancienneté et à l'authenticité des découvertes,
et entraîne une reconsidération de leur identité
archéologique. |
|
|